La Bibliothèque

Lary se retrouva dans les aires. Comment dire... ily a quelque secondes a peine il s'apretait a alle discute avec les dieux, et maintenant il etait dans les aires par dessus des etagere et il tombait rapidement avec un certain angle... Plusieur pense lui passere par la tete, mais la meilleur fu de leve les bras en X en avant de son visage. Il reussi a prendre le rebord de l'etagere remplit de livre dans ses mains, se fesant pivote d'un coup dessus, mais le choque de l'impacte projeta le meuble vers le sol... Il heurta le caissing suivant, et ainsi de suite, comme des dominos bien place. Lary avait reussi a garde son equilibre sur la premiere bibliotheque, et il regardait maintenant avec interet tout les autre tombe dans un amas de papier et reliure de cuire. Un sourire flotait sur ses levres. Il n'etait meme pas certain de ou il etait, mais sa s'annoncait bien... speciallement que qui que se soit qui l'avait emporte ici n'avait pas eu la gentillesse de fournire les vetements. Pour etre honete, cette situation aurait du embarasse n'importe qui, mais Lary s'etait habite lors de son enfance a prendre des bains sous la surveillance de quelques domestiques, autant gars que fille, et il avait jamais vraiment ete eduque plus loin que ses connaissance de base qui lui avait ete apris lors de son jeune age au chateau de Varda. Autour de lui tout sorte de creature avait l'aire choque, voir insulte par sa pressence, et une fille s'evanouit. Lary se demanda pourquoi alors qu'il remarque que certaines autre s'etaient mitse a rougire. Il comprt plus ou moin qu'il devrait se trouve des vetement et vite, mais ou? une bibliotheeque en desorde a se point etait plutot mal choisi comme lieu de reincarnation... oui il avait reussi a comprendre ce bout la au moin, il etait revenu a la vie, les ange des cieux ne siagne pas et sur son bras il avait une grande grafigne qui laissait s'ecoule un flot regulier de sang... Les portes souvrires alors et le premier reflexe du jeune homme fu d se retourne vers eux pour voir...

Oromis ouvrit la porte de la bibliothèque. Il y avait longtemps qu'elle n'était pas très utilisée, puisque les créatures du mal se souciaient bien peu de leur éducation, pour la plupart en tout cas. Avant, il aurait été difficile d'y accéder puisqu'elle appartenait à la royauté, mais de nos jours, cette bibliothèque était presque vide de personne vivante, sauf pour la quelque dizaine de personnes érudites. Siegfried entra donc, suivi de Shaora.

-Voilà, nous y sommes. Tu peux aller où tu veux ici. Il n'y a pas vraiment de section interdite puisque les livres à ce sujet sont placés ailleurs, soit dans la chambre de la royauté. Les sujets sont assez mélangés puisque cette bibliothèque est peu entretenue. Aussi, son contenu est assez délaissé depuis plusieurs années et on y retrouve que quelques livres spécifiques. Il est rare de trouver un livre sur l'art d'apprivoiser un cerf ou sur l'histoire de la création du monde. Je te laisse ici, viens me trouver si tu le désires, mais je vais feuilleter quelques livres. Je veux en savoir plus sur un sujet que je n'ai pas dans ma propre bibliothèque.

Ne sâchant pas ce qui se déroulait exactement, Oromis déambula dans les rangées à la recherche de livres sur un dieu en particulier, Dimitrios, ainsi que celui que les dieux nomment "Lui". Bien que ce sujet n'avait pas été beaucoup abordé avec son père, Oromis sentait que le dieu de la Foudre avait peur d'en parler. "Il" semblait une forte menace pour les dieux, bien plus que Dimitrios. Il voulait en savoir plus...

Shaora, lorsqu'Oromis l'eut laissée se promena dans les rangées.

*Hola, Il y en a des livres ici! Et moi qui croyait que c'était rare!*

Il faut dire qu'ayant vécue sur un bateau, elle n'avait pas vraiment été en contact avec les livres...

C'est alors qu'elle appercu plusieurs rangées de livres écrasées au sol. Elle se dirigea vers ces livres et s'accroupit. Ce n'est qu'en se relevant qu'elle vit un homme se tenant la, un sourire aux lèvres, tout nu. Il y avait aussi une femme étandue par terre un peu plus loin.

Elle arqua un sourcil, totallement indiférente à la nudité de l'homme. Il faut dire qu'elle avait vécu avec des pirates, et que ceux-ci, après une soirée bien arrosée ne se genaient pas pour se dévêtir un peu.

Regardant fixement l'homme, sans aucune gêne, elle lui dit tout simplement:

- Bonjour! Je n'avais jamais vu autant de livres de toute ma vie. Vous pourriez m'aider à en trouver un qui parle de la mer?-

J'ai l'aire d'un erudit ou d'un bibliothecaire moi?
Demanda-t-il du tac au tac. Serieusement comment pouvait t'il avoir l'aire d'un libraire tout nue comme sa au beau millieu du desorde? il devait probablement avoir plus l'aire d'un fou echape de l'asile... Il leva son bras vers sa bouche lechant le coulis de sang qui se rendait a sa main et regardant autour. Dans le fouillit qu'il avait cree tout se qu'il voyait s'etait des feuilles lui. Il retira son bras de sa bouche regardant la fille droit dans les yeux.

Si tu veux vraiment trouve un livre il faut demande a la madame qui est tout rouge et alonge... Je crois...

Enfin, c'est elle qui avait l'aire en charge. Elle portait les lunettes classique de libraire avec la grande robe longue et le regard qui pourait perce le crane s'il insistait. Malgre que sa s'etait avant qu'elle ne devienne tout rouge et s'evanouisse... Lary commenca alors a considere le fait de mettre des vetement quelconque... mais encore une fois, la pense lui vint: la bibliotheque n'etait pas l'endroit pour trouve des vetements...

Shaora, au lieu d'être déstabilisée sourit d'un air relativement narcissique et répond:

-Eh ben la dame, elle peut pas me répondre. Alors je m'adresse a toi.Je connais rien ici, toi peut-être. Alors voila. Désolée de t'avoir dérangé Monsieur!

Puis, elle tourne les talons et s'assoit sur un fauteuil, les bras croisés, un air hautain dans le visage.

Elle était fachée. Cet homme l'avait renvoyé comme une merde. Elle resterait la jusqu'à ce qu'Oromis revienne la chercher.

Encore une femme! Personellement Lary pourait faire sans la gente feminine. Il faut dire qu'il n'avait jamais aprit la difference des sexes, et que malgre ses 18 ans, il croyait encore qu'il ne s'agisait que d'anatomie, eg; Les filles on des seins plus prononce et qu'il faut aparament cache, alors que les mecs on des pecs. Voila a quoi se limitait son savoir sur les sexes. Normalement un garcon normal aprenait sa vers l'age de 12 ou 13 ans, mais Lary avait fuit son royaume vers 8 9 ans et il fu adopte par des pirate a l'hatitude plutot barbarique sur le sujet. Pendent qu'il avait traine avec eu il fesait semblent de comprendre pourquoi il serait que des filles contre eu lorsqu'il fesait port, et pourquoi la gente feminine etait d'un si grand interet pour eu, mais il n'avait jamais comprit. Et maintenant il se retrouvait devant une fille de reve pour un gars eleve comme lui et voici ce qui arrivait, il se comportait de la meme facon que si s'etait un mec. Pas surprenant qu'elle s'insulte, malgre que lui il etait un peu debousolle, mais l'heure n'etait pas au excuse. Il alla plutot vers la libraire relevant sa robe. Il vite qu'elle portait des cullottes endessous alors il dechira sa robe pour ainsi cree une des premiere jupe, "raze mote", se confectionnant un kilt a lui meme avec le retaille du tissu carote. Sa devrait sufire pour le momment. Il sourit en contemplant le resultat final, malgre qu'il aurait bien aime se voir la face. Il alla alors se poste devant la jeune femme. Son regard neutre avec un sourire qu'on aurait pu asosie a un fou affiche sur le visage (comme sur l'avatar en fait).

Si tu crois que si tu me boude comme sa, sa va arrange quoi que se soit tu te trompe. Un mec nu dans une bibliotheque n'est pas la meilleur des reference pour trouve un livre, et jn'etais pas le seul sur place, il y avait aussi un vieu crouton qui te regarde encore du coin de l'oeil.

Lary n'avait pas tout a fait comprit pourquoi le vieil homme la regardait ainsi depuis un momment. En fait il la molastait du regard depuis son entre, mais Lary etant Lary, il croyait que cet homme etait canibale et que Shaora avait l'aire bien apetisente. Enfin il suposa plusieur truc du genre mais n'en dit rien, si elle ne l'avait pas remarque elle meritait bien de se faire avoir! Sur ces mots il se retourna pour quitte les lieux, il fallait retrouve Soren pour lui explique se qui s'etait passe ou sinon la jeune femme qu'il avait rencontre sur le bord de la falaise... Nightshade n'etait vraiment pas arrive au bon momment! En fait... Scrap Soren, il l'avait abandonne, il fallait retrouve la femme de la falaise, mais avant tout, une paire de pentalon! il devait bien y en avoir dans se foutu chateau! Il enjemba donc quelque etagere en chemin vers la porte (mais je suis encore ici si sa peu vous interesse de m'arrete en me parlant).

Oromis faisait le tour des allées. Il n'avait pas totalement trouvé ce qu'il voulait. Livre à la main, un peu plongé dedans, il avançait dans l'allée vers le comptoir principal. Il leva les yeux un peu pour voir ce qui se passait puisqu'il avait entendu du bruit assez anodin. C'est alors qu'il vit Shaora les bras croisés et la mine assez renfrognée. Elle semblait assez offusquée. À côté d'elle se tenait un jeune homme pratiquement nu, si ce n'était que du semblant de kilt qu'il avait. Puis, à la gauche de celui-ci était étendue une jeune femme dont la robe avait été déchirée. Cette jeune femme était inconsciente. Puis, Oromis remarqua qu'à la droite de Shaora se tenait un vieillard qui louchait vers les deux jeunes femmes. Difficile de croire qu'un drow avait quelconque intérêt pour deux femmes, surtout à cet âge, mais il faut dire qu'à Mentréebre, tout était possible...La perversité des hommes avait peut-être touchée ce vieux drow. Oromis retourna son regard vers Shaora et l'autre homme. Puis soudain il reconnut l'homme nu qui était nul autre que Lary Blackrider. N'avait-il pas été tué ? Il l'avait vu du ciel se faire trancher la gorge par ce drow...Les dieux devaient avoir quelque chose à voir là-dedans...

-En effet, ce n'est pas le genre de personne à qui je demanderais conseil pour trouver un livre. Si c'eût été le cas, vous auriez pu me le demander Shaora. Ainsi donc, je me trouve en face du fameux Lary Blackrider. J'imagine que de vous voir ici doit laisser supposer que vous allez encore être plus utile ici que là-haut. Je vous prierais par contre de rester ici un moment. Votre loyal compagnon est en route pour Mentréebre. Je l'attends ici pour l'accueillir et le protéger. Peut-être seriez-vous intéressé d'en faire autant?

Loyal compagnon? Soren l'avait laisse quitte sans rien dire, sans meme le prendre en chasse pour le resonne comme il l'avait souvent fait. Lary avait du faire deborde le vase, mais il ne comptait pas s'en excuse pour autant, si Soren voulait le laisse poirote ou bon lui semblait, c'est qu'il le meritait bien, et Blackrider n'etait pas du genre a s'en faire pour l'opinion d'un simple elfe... en fait, il n'etait meme plus certain pourquoi Soren le suivait partout depuis un temps et s'etait peut-etre mieu si les deux ne se voyait plus. Malgre tout, le mot celebre et Lary Blackrider atira son attention, normalement il entendait l'infame, l'escroc ou encore l'abominable vu tout les crimes qu'il avait pu commetre depuis son arrive sur le continent... voir depuis sa fugue.

Fameux? Je sais que j'avais un prix sur ma tete a Aikadae il y a meme pas une semaine, mais sa ne veux pas dire je suis fameux pour autant. Et si tu va faire comme l'ange et me parle de l'ancien roi d'Aikadae, j'aime mieu pas en entendre parle...

Lary se retourna et continua son chemin vers la porte. Une fois rendu il prit la poigne dans sa main, la tourna en la regardant. Il ouvrit la porte de quelques pouces. Restant parfaitement imobile il reprit la parole.

Vous etes tous pareille les imortelles. C'est toujours des jeux et camaradery avec vous... mais dans se bas monde il y a aussi trahison, meprise, insolence et violance...

Il se glissa par l'ouverture de la porte et quitta les lieux, laissant la porte ouverte alors qu'un autre l'aurait claque a se momment. Malgre tout, on pu entendre un coup porte a un mur un petit momment plus tard.

Oromis ne cilla pas. Il se rappela aussi combien il avait regretté de croire à la réapparition de l'ancien roi de son pays. Même si ce Lary lui ressemblait en tout point; le même caractère, un physique semblable, eh bien ce n'était pas l'ancien roi. Peut-être était-ce en fait son âme réssucitée, mais ce nouveau Lary n'avait aucun souvenir de sa vie d'avant. Mais à un moment il baissa les yeux et fit un sourire en coin. Il était vrai que les dieux pouvaient voir tout comme un jeu. En fait, parfois, tout semblait comme s'ils jouaient tous une partie d'échec dont les humains étaient les pièces. Malgré que son père était un dieu, il se sentait tout de même manipulé par lui par moment. Oromis finit par rire, mais c'était un rire sans plaisir, un rire face à l'ironie.

-Hahaha. Il est vrai que les dieux font bien ce qu'ils veulent. Pour eux, nous ne sommes parfois que des pièces sur un échiquier géant. Mais alors que c'est le cas pour eux, même moi, je fais partie de leur jeu. En quelques sortes, je suis le Cavalier Blanc de l'Échiquier. Donc, si tout n'était que jeu pour moi, je ne serais pas ici en ce moment. S'il n'en tenait qu'à mes camaraderies, comme vous dites, trahison, méprise, insolance et violence n'auraient jamais éxistés. Je suis une pièce tout autant que vous. Mais si vous croyez qu'en bon Fou, votre mission est fort différente de la mienne, eh bien soit, partez et accomplissez la de votre mieux. Moi, en bon Cavalier, je me dois de protéger votre Tour dans son assaut contre les pions Noirs. Cette métaphore, je trouve, représente fort bien comment les maîtres de jeu sont les dieux et comment tant moi que vous sommes manipulés par eux. Je vous souhaite tout de même bonne chance, car je sais que vous avez le potentiel de vous soustraire à l'influence des Maîtres de Jeu.

Mais Lary avait déjà disparu. Probablement avait-il entendu, mais il avait tout de même quitté.

Shao se rendit auprès de la dame en rouge. Elle pensait que celle-ci se remettrait de son malaise, mais au contraire, la dame se couvrit la bouche come si elle avait un haut-le-coeur et sortit en courant de la pièce.

Shaora, un peu lasse de cet atmosphère pesant décida de s,en aller.

Elle fit un petit signe à Oromis, juste pour lui signifier qu'elle partait.

*Il ne doit pas s'inquieter. J'ai tout de même vécu sur un bateau pirate, je sais me défendre. Qui-plus-est, je sais assez bien me débrouiller avec ma langue si l'épée ne fait pas l'affaire.*

Puis, elle sortit et se rendit dans la cour.