Dans la cour.

Derek s'était rendu jusqu'à dans la cour accompagné de ce qu'il croyait un garde. Ce garde en question était assez grand et aucuns autre de ses autres traits ne pouvaient se faire voire, à cause de son armure épaisse et aussi sombre que la nuit. Avec cette armure, le garde semblait presqu'être un démon. Derek ne savait ni son nom, ni qui il était, seulement qu'il était un garde de Mentréebre...
...C'était le soir, la lune commençait à se montrer et des corbeaux, ainsi que des chauves-souris commençaient à se montrer de plus en plus. Le garde, contrairement à Derek, ne semblait pas vraiment effrayé et le jeune prince était maintenant plus près du garde, de peur que quelque chose lui arrive...
...Le garde, gros bouclier au bras droit et épée à la ceinture, cherchait quelque chose des yeux... un vieil arbre, qui appercut après un instant. Il y alla et le jeune Derek s'y accota... il commençait à s'endormir, mais le garde le gardait réveillé...

Depuis quelques temps, l'Immortel Siegfried attendait. Le temps était long, mais il était très patient. Raiden, son père, était très patient aussi. Il lui avait montré tout ce qu'il était possible lorsque le temps le permettait. En ce moment, très loin de chez lui, il se devait d'attendre. Il attendait un jeune elfe dont le destin du monde allait bientôt reposer. D'après ce qu'il avait compris de lui, il allait bientôt devoir diriger une armée peu organisée afin de se rebeller contre la royauté. Si l'on se fiait au livre de Cyzra, le plan de faire de Kayrk le dictateur devait avoir échoué. De toute façon, Oromis le savait déjà. "Il" était revenu et ferait de Kayrk son arme. Peut-être que Cyzra espérait faire de Soren son outil, mais Oromis ne la laisserait pas faire. De toute façon, Cyzra ne semblait pas être revenue sur Terre depuis que Soren avait commencé sa quête qui devait se poursuivre ici, à Mentréebre. Oromis n'avait pas d'objections à rendre ce monde meilleur, mais il avait toujours cru en la bonté des rois. Mais depuis la disparition du roi Lary Blackrider, il semblait que les choses avaient dégénérées. Lors de son règne, les choses étaient justes à Aïkadaé, mais plus maintenant. En ce moment même, aucun roi, ni dirigeant ne veillait sur le royaume. Il ne savait pas la situation de la royauté actuelle, mais les choses devaient s'envenimer. Le peuple serait utilisé et oppressé, comme il l'était à Mentréebre, depuis la disparition de leur roi, Yan. Dans les deux royaumes, aucun souverain véritable n'avait été désigné, et les dictateurs se suivaient pour faire souffrir les paysans. C'est pourquoi Oromis avait choisi d'aider Soren à réaliser son but. Il fallait rétablir les choses, mais aussi faire cesser les conflits entre Mentréebre et Aïkadaé. Mais Oromis avait aussi pris les devants sur les dieux. Bientôt, Soren serait appelé à faire changer les choses, mais aussi à combattre Lui. Les ténèbres approchaient rapidement. "Il" serait bientôt de retour. Le chaos allait régner pendant un bon moment. C'est pourquoi l'armée de Soren allait s'avérer utile, car elle regrouperait les deux peuples pour les mêmes convictions. Puis ensuite, il fallait diriger Soren afin qu'il réunisse les deux peuples à se battre contre Lui. Il n'avait pas d'autres plans. Seul Mathias semblait avoir eu peur que le Mage Noir revienne. Il semblait vouloir rallier les dieux à se battre contre Lui, mais ils ne l'écoutaient pas. Personne ne voulait croire à Son éventuel retour. Oromis y croyait lui, mais il allait agir à sa façon, et sans l'aide des dieux. Ils pouvaient bien tenter de Le combattre, mais au final, le seul moyen de gagner, c'est le ralliement. C'était le seul plan.

C'est en cogitant sur tout cela que Siegfried se retrouva dans la cour du château de Mentréebre. En fait, son but, en ce soir éclairé de la Lune, il avait songé à contacter Opale. Il n'avait pas eu de nouvelles d'elle depuis longtemps. Elle devait beaucoup s'inquiéter pour lui. En ce soi tranquille, il aurait peut-être une chance de la trouver. Pourtant, en regardant dans le ciel, il aperçu les vraies ténèbres au loin. Il se souvenait de cette direction. C'était là où il avait été emmené avec Nickye il y avait 7 ans de cela. La Tour de Kayrk...Il n'y avait plus de doute maintenant, le Mage Noir devait être de retour. Même le noir de la nuit n'est pas plus sombre que les vraies ténèbres, celles qui obscurcissait le ciel au loin.

En laissant retomber ses yeux, il aperçut tout à coup deux figures étranges. L'une était une grande armure, ressemblant à un garde, mais dont l'aura trahissait les pensées maléfiques. L'autre, accoté contre un arbre, était une petite silhouette à l'allure princière. C'était Derek, le fils du roi Yan et de la reine Leslie. Mais ce qui était dans l'armure ne semblait pas veiller sur lui...Même qu'il semblait plutôt vouloir le contraire. Un garde...ou un assassin? Derek était de manière incontestée l'héritier de Mentréebre, alors beaucoup de gens pouvaient vouloir sa peau pour s'approprier le trône. Et comme Yan était porté disparu, même avec son jeune âge, Derek pouvait très bien être appelé à prendre ce trône. Mais Oromis ne sentait pas en ce supposé garde une certaine animosité. Ce n'était tout de même pas lui...?

-N'est-ce point un endroit trop voyant pour un jeune prince, messire? De plus, il semble venu le temps pour lui de se reposer. Vous devriez le prendre et le mener à sa chambre. Il y a beaucoup d'assassins par les temps qui courent.

Le prince et le garde levèrent les yeux vers Oromis, qui arrivait d'on ne savait où. Le garde s'avança vers lui et l'examina pendant quelque secondes... Derek, qui semblait vouloir en savoir plus sur ce qui ce passait, approcha du garde et lui demanda:

-C'est qui lui? Qu'est-ce qu'il veut?

Puis, d'une voix rôque, le garde lui répondit:

-Ne t'approche pas...
...et toi, chose, que fais-tu ici. Qu'est-ce que tu veux?

La main du garde se posa sur son épée, montrant qu'il serait dangereux pour Oromis s'il ne répondait pas, ou bien qu'il approche.

Oromis plaça ses mains dans ses poches alors qu'il commençait à parler. Il n'était pas tellement stressé, même si le garde avait la main sur la garde de son épée. Par contre, il avait compris que ce ne semblait pas être la personne qu'il eut cru. Sinon il l'aurait reconnu dès le premier regard. Ou bien en fait, c'était bien lui...mais lui ne se souvenait pas d'Oromis.

-Je vois que les gens de Mentréebre ne sont toujours pas au courant de tout. Il faut dire que vous avez beaucoup plus de tracas ces temps-ci. Ce que je veux? Tout simplement que vous soyez prudent. Quoi d'autre! On ne sait jamais sur qui on peut tomber. Et puis, un prince héritier, ça attire bien des gens. Mais qui suis-je donc pour oser recommander la garde personnelle du prince Derek, me demandez-vous? Ici, on me nomme Oromis Strijder, mais mon nom est Siegfried, le fils de Raiden et Fannaty. C'est étrange, personne ne semble me connaître ici... Pourtant, il me semble que je ressemble beaucoup à Raiden....Enfin, c'est ce que j'aurais cru. Vous ne trouvez pas?

Pour l'instant, Oromis était habillé très modestement. Une simple tunique blanche et un pantalon noir. Ses cheveux bleu ciel étaient trempés par la pluie, mais il avait toujours adoré cette sensation des gouttes d'eau ruisselant dans son cou. Ses ailes s'étaient rétractées dans son dos et ne paraissaient pas. Il faisait quelques mouvements avec ses mains par occasion alors qu'il parlait, ce qui se faisait sur un ton calme mais blagueur un peu. Et puis, si le gardien n'était pas heureux et qu'il décidait de l'attaquer, il serait bien servi. Oromis avait l'air trop simplet ainsi; il masquait bien son jeu. Sans crier garde, il aurait pu matérialiser son armure et ses armes. Mais il ne comptait pas le faire ce soir, car même ce garde ne méritait pas une défaite aussi honteuse. Quoiqu'on ne sait jamais, il aurait toujours pu être très habile, ce garde.

Une bulle se forma derrière Derek, comme si l'humidité s'était mélanger brusquement avec l'oxygène. La bulle fut illuminé d'une vive et intense lumière. En un instant, la bulle s'aggrandit en un milliard de bulles pour créer deux corps: un géant au finesse d'un elfe et un petit, plus féminin. Des silhouettes humaines apparurent lentement derrière la lumière, sortant de nulle part. La lumière disparu et les personnes prirent rapidement leurs formes originelles.

Nikos regarda Opale avec un sourire, puis se tourna pour observer où il était attérit. D'arpès lui, il devait se trouver dans la cour du château. Pourquoi ici? Car il devait voir sa nouvelle famille quelque fois...Il était en quelque sorte, un bon ami de la famille royale, bien que son amitié avec Yan laissait à désiré. Il détestait les hommes de naissance. Avec Leslie, c'était...autre chose...Il était beaucoup plus affectueux et gentil en sa présence qu'avec n'importe qu'elle femme, sauf Akilegna bien sûr..."Elle était merveilleuse cette femme." pensa-t-il tout à coup. Il secoua la tête et apercu le fils de Yan, dos à lui.

Il jeta un coup d'oeil à Opale et décida qu'il valait mieux pour lui de se métamorphoser. Il ferma les yeux et laissa place à sa transformation. Sa peau devint lentement d'un long poil épais et brun foncé, ses oreilles s'allongèrent ainsi que ses mains et pieds (je rappelle que Nikos n'a que 4 doigts sous sa forme animale, pour vous donner une idée de la douleur de sa transformation pas facile pour lui), ses bras et jambes se racourcirent...Son corps ne faisait plus qu'une boule minuscule au sol. Dès qu'il réouvrit les yeux, ses pupilles étaient d'un bleu très brillant, à comparé au gris argent habituel. Son apparence avait changé du tout au tout.

Dès que sa transformation avait fait son travail, il s'avanca vers Derek et s'assoya à ses côtés. Ses pattes lui dépassaient presque la tête, tellement il avait de longue patte. Pourtant, ses pattes avant étaient si petites ! Il se mordilla les pattes comme un chat et émit des petits bruits pour attirer l'attention de Derek sur lui.

Avant même que le géant en armure ne réponde, quelque chose d'inusité se produit. Une certaine bulle se forma et il y en apparut deux personnes. Il y avait un elfe d'environ la taille d'Oromis, qu'il reconnut comme étant Nikos, celui qu'il avait vu chez lui auparavant, qui se transforma soudainement. Cela n'affecta pas beaucoup Oromis qui savait déjà qu'il pouvait le faire. Mais c'est la seconde présence qui le laissa sans voix. Une fée...Sa fée.

-Opale..? C'est bien toi?

Après un moment, Derek vit la petite boule de poile, qui s'était assis à côté de lui. Un petit sourire s'afficha dans sa figure et avança sa main vers lui. S'il le laissait faire, le jeune prince commença à le flatter et, avec enthousiasme, il lui demanda:

-Salut! Moi c'est Derek! Toi, qui es-tu?

Le garde, tant qu'à lui, n'avait pas vraiment écouté ce qu'Oromis lui avait dit, puis, lorsque Derek se mit à parler, il tourna la tête vers lui, se demandant à qui il parlait. Lorsqu'il vit la petite boule de poile, qui amusait le jeune prince de Mentréebre, il leva le sourcil.

*Bon, c'est quoi encore, ce truc?*

Et, regardant un peu plus en arrière, il remarqua une forme féminine. Il se retourna vers elle et, parmis les ombres de la nuit, il avança vers elle, gardant toujours un oeil sur son jeune protégé, Derek:

-Et vous, quel est votre nom? Pourquoi êtes vous ici et pour qui sont vos allégeances? Nous sommes ici dans le royaume de Mentréebre, les intrus ne sont pas les bienvenus!

Sa main, qui se trouvait toujours sur son épée, se serra sur celle-ci, prêt à fendre la chaire des intrus à tous moments.

Après un court voyage de plusieurs kilomètres, mais qui ne sembla durer que peu de temps selon les sens d'Opale, cette dernière sentit le sol réapparaître sous ses pieds. Elle voyait à peine ce qui se déroulait de l'autre côté de la bulle jusqu'à temps que cette dernière disparaisse. Ses yeux, pas encore vraiment accoutumés à sa pénombre de la soirée, ne voyait pas vraiment plus loin que quelques mètres. Elle distingait cependant de mieux en mieux la forme de quelqu'un de plutôt petite taille au sol, juste à côté d'un homme (ou quelque chose qui ressemblait à tel) en armure. Une autre silouette, plus éloignée, lui rappelait quelqu'un. Il était des plutôt grande taille, svelte. C'était un elfe, de toute évidence. En faite, elle sut émidiatement mettre un nom dessus cette personne. Malgré les plusieurs jours qu'elle avait passé sans le voir, ell le reconnaîtrait parmis mille personne, peut-être même les yeux bandés. C'était Oromis. Le plus bel elfe d'Ornelna, l'élu de son coeur.
Bien qu'heureuse, cela la laissa perplexe. Elle s'attendait à voir n'importe qui, ou même n'importe quoi. Sauf lui. Que faisait-il dans le royume de Mentréebre alors qu'il était l'immortel d'Aïkadaé? Bon, elle était plutôt mal placé pour parler, puisqu'elle était elle-même dans un royaume qui n'était pas le sien. Elle vint pour répondre, mais la transformation de l'homme au coeur blessé lui fit regarder en cette direction. Elle le reconnu alors comme étant Nikos, la petite boule de poil qu'elle avait rencontré lors du mariage de la princesse Nickye! (voir la V1) elle en gardait encore de fines cicatrices dans le dos... Elle n'eut, encore une fois, le temps de rien dire, puisque ce qui semblait être le garde du petit s'adressa à ele.
Ses yeux se dirigèrent légèrement vers la main du garde, serrant son épée. Semblait-elle si offensive que ça? Elle devait bien avoir une tête de moins que lui, elle n'avais qu'une cape pour la protégé du froid en guise d'armure. Bien sure, elle avait son épée à sa hanche, mais elle n'était pas là pour se battre. Nikos lui avait proposé de le suivre, ce qu'elle avait fait; Point à la ligne.
La jeune fée décida de commencer par répondre au garde. Elle dut se retenir considérablement de courrir vers Oromis pour lui sauter dans les bras; Elle ne voulait pas particulièrement que cette soirée d'automne soit aussi celle de sa mort. Il pleuvait, elle sentait la cape qui pesait lourde sur ses épaules, mais elle était la fille la plus heureuse du mort; Elle venait de revoir son prince charmant. Plutôt son immortel charmant... Elle lui adressa un sourire avec un léger hochement de tête pour signifier que c,était en effet elle.
Elle tourna une seconde fois son regard vers le garde, hésitant entre regarder le sol ou le regarder dans les yeux. Elle ignorait ce qui serait le mieux vu dans ce royaume. Elle se contenta donc de fixe un point entre les deux yeux, ou ce qui semblait être cela dans la noirceur et elle prit un air sérieux. Ni offensife, ni déffensif. Elle se contentait de lui parler calmement pour prouver que sa venu en ce royaume n'était pas dans le but de faire du mal à qui que ce soit.

-Je me nomme Opale. Je suis ici car cette charmante boule de poil m'a proposé de l'accompagnée; c'est toujours plus agréable de faire un voyage à deux que seul. Je ne suis pas ici pour faire du tord à personne...

Elle omis de dire à qui elle faisait alégeance, et ce n'était pas un oublie de sa part. Elle pourrait faire passer cela comme tel, mais c'était plutôt inutile de dire à qui que ce soit en ce territoire de préciser qu'elle venait du royaume d'Aïkadaé. De toute façon, la seule promesse qu'elle est vraiment fait depuis qu'elle était arrivée à Aïkadaé, c'était d'aimer Oromis jusqu'à la mort... c'est-à-dire jusqu'à la fin de l'éternité dans le cas de ce dernier; Il était immortel. Si le garde aurait voulu la tué, il l'aurait déjà fait; Maintenant, il voyait bien qu'elle ne ferait rien de mal... mais elle situait tout de même son épée à sa hanche dans sa tête. Elle ne voulait pas s'en servir, mais elle la prendrait au moins pour se défendre... Elle partirait de toute façon si elle avait à l'utiliser. Elle se serait rendu malade de culpabilité si elle aurait dérangé Oromis dans ce qu'il faisait; Opale le connaissait assez pour savoir qu'il n'allait nul part sans raison, et que chaque geste était crutial pou la survie d'Ornelna. Le déranger maintenant le ramenerait peut-être au point de départ; La fée savait qu'elle ne devait pas blaguer avec ce fait.

Le garde remarqua rapidement qu'Opale n'avait pas donné son allégeance, comme il lui avait demandé de le faire. Il fronça les sourcils et, avec une voix légèrement plus forte et menaçante, il reprit parole:

-Votre allégeance, je croyais avoir été assez claire à ce sujet! Donnez-moi ce que je demande et peut-être pourrais-je vous laisser partir vivante, vous et votre... chose.

Derek leva la tête vers la tête vers le garde, se demandant pourquoi il posait toutes ces questions à cette femme. Alors, tout en continuant à flatter la boule de poile, il s'adressa au garde:

-Dites, pourquoi tu veux savoir ça?

-Parce-que votre vie est importante pour notre royaume, prince Derek.

-Tenez-vous bien pour dit qu'elle est avec moi. Donc peu importe d'où elle vient, nous ne sommes pas là pour s'en prendre à votre protégé. Si c'eût été le cas, il serait déjà mort. Ne vous ai-je pas recommandé d'emporter Derek au château? D'ailleurs, veuillez relâcher la garde de votre épée, car personne ici n'est armé à par vous, mais si vous attaquez un de nous deux, ma réplique sera immédiate. D'ailleurs, vous savez très bien qui je suis, n'est-ce pas Demog? Pas de mauvaises foi, bien des choses ont changées, comme par exemple ma magie. Sur ce, veuillez nous excuser, mais je dois parler à Opale.

Évidemment, il avait oublié Nikos. Mais si on s'attaquait à Opale, Siegfried le prenait très mal. Avant même que le garde ne puisse répondre, Oromis prit le bras d'Opale pour la tirer vers lui, déploya ses ailes et s'envola, tenant Opale par la taille.

-Je suis désolé, mais je n'ai pas le temps de faire valoir mon point à ce garde, même s'il ne fait que son travail. En fait, la seule raison qui m'a poussé à venir ici approche. Je viens de le sentir. Mais avant, je voulais te parler....Tu m'as tellement manquée, Opale.

Opale continua de regarder le garde quand il lui parla. Son allégeance... Elle profita du délais que lui laissa le petit homme qui jouait avec Nikos en demandant pourquoi il voulait savoir son allégeance. D'Ailleurs, ça changeait quoi? Oui, elle venait du royaume ennemi de ce royaume, mais ça changeait quoi dans leur vie? Elle compris cependant quand le garde répodit au petit bonhomme que c'était parce qu'il possédait une vie plus importante que les autres... Le petit était un prince! Et certainement pas d'Aïkadaé. Là, elle ne savait pas trop quoi répondre face à l'allégeance. Elle avait toujours aimer les enfants et jouer avec eux dans les champs de blé, mais elle se doutait fort bien que ce garde ne la croirait pas... Pas s'il devait surveiller le prince.
Elle n'eut cependant pas à se défendre, car son héro vint, une fois de plus, la sortir du pétrin. Si elle devait commencer à dénombrer le nombre de fois qu'il avait fait ce genre de chose, elle n'aurait pas assez d'une vie pour lui redonner la pareille... Elle écouta donc ce qu'il dit à ce féroce guerrier engagé pour protégé le jeune Derek. Opale eut une forte difficulter pour réprimer le sourire qui monta à ses lèvres; cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas entendu la voix magnifique de son époux que, maintenant, elle sonnait comme la plus douce des mélodies qui devait exister sur cette planète. Ou même dans l'univers.
Il finit par dire qu'il devait lui parler à elle. Elle n'eut à peine le temps de comprendre le sens de ces paroles qu'elle sentit son bras retenu par une main et attirer par le propriétaire de cette main. Elle ne dit aucun mot, ne fit aucun geste pour se défendre; elle savait que c'était l'elfe de son coeur.
Pendant qu'elle montait dans les airs avec Roro, la jeune fée déposa ses mains sur celle de l'immortel. Même si ces dernières la retenait contre lui, elle n'était toujours pas habituer de voller à l'aide d'autres ailes que les siennes. Ce n'était pas la même sensaion du tout, mais ça ne voulait pas dire non plus qu'elle n'aimait pas cela. Pourtant, Siegfried avait, une fois de plus, fait remonter le sentiment de culpabilité d'Opale. Elle avait encore cette impression de se mettre encore dans le pétrin, d'empêcher son amour d'avancer normalement dans son travail. Elle devait avoir un sérieux don pour toujours le déranger.
Et elle n'aimait pas du tout ce don.
Elle écouta ce que lui dit l'elfe aux ailes d'ange en tourna son visage vers lui. Quand il commença par dire que la raison de sa venu en ce royaume approchait, elle se maudit d'être venue. Comment pouvait-elle savoir que la raison d'une si longue absence était exactement à la même place que l'endroit où elle avait suivit Nikos? Elle devait avoir eu cette chance sur un milion... Un don croyait-elle il y a quelques instants? Maintenant, ça ressemble d'avantage à une malédiction...
Puis, quand Oromis lui dit qu'elle lui avait manqué, elle lui fit un beau sourire et déposa sa tête sur son épaule. Elle aurait bien tenter de lui frotter l'oreille avec son nez, mais elle n'osait pas de peur de déstabiliser le vol. Quand il finit de parler, elle s'empressa de répondre, ne voulant pas lui faire perdre trop de son temps; même s'il avait l'éterniter devant lui, Opale se doutait bien que la raison de sa venue n'attendrait pas tout ce temps.

-Tu m'as également tant manqué... J'ai même cru que quelque chose t'étais arrivé... Je t'aime tant....

Et elle lui donna un petit bisou dans le cou. Elle frotta doucement et tendrement ses mains contre le dos de celle de son époux, sachant que chaque instant était peut-être compté. Après quelques autres baisers qu'elle lui adressa dans le cou, elle lui dit avec un ton d'une sincère déolation:

-Je suis désolée... Je ne voulais pas te déranger... Je suis infiniment heureuse de pouvoir te voir, mais je n'ignore pas non plus que la paix du continent compte d'avantage que tout cela...

Elle attendit de voir ce que l'elfe allait lui épondre avant d'ajouter quoi que ce soit. Elle savait qu'avant de vraiment pouvoir vivre ensemble, Oromis aurait un long chemin à faire. Il avait une ascendance divine dans ses veines et ce n'était certe pas le moment de faire passer ces caprices de gamines comme importants. Elle avait toujours voulu démontré, depuis que son père l'avait quitté, qu'elle n'était pas une bonne à rien et qu'elle était capable de faire comme tous les autres, qu'elle savait se défendre et qu'elle n'était pas une de ces femmes qui ne fait que ce contempler dans le miroire. Maintenant, elle ne pouvait s'empêcher de songer que la présence d'Oromis la réconfortait. Peut-être était-ce par sa simple présence qu'elle n'avait pas sortie une de ces conneries qu'elle avait tant l'habitude de sortir quand on lui posait des questions qui pouvait être le moindrement importantes? Elle ne faisait que regarder la gaffe qu'elle avait fait avec Kayrk... Elle aurait peut-être du si prendre autrement? Ce n'était cependant pas le moment de penser à out cela. Elle se contenta de regarde son époux dans les yeux.

*L'art de ne pas répondre aux question des autres...*

-Partez, maintenant, si vous ne voulez pas de troubles. Je vous ais laissé une chance de vous dévoiler et vous ne m'avez pas écoutés. Alors, je vais aller avertir les hauts placés et vous en entendrez parler bientôt...
...Derek, levez-vous, nous partons...

-Ma... mais... est-ce que je peux l'ammener?

Demanda t-il, en désignant la boule de poile:

-Non. Cette chose n'est pas avec nous, il est avec cette... fée...

Dit-il avec un air de dégoût... Derek se leva, l'air déçu et puis suivit le garde, qui allait un peu plus loin, hors de vue des autres. Le garde ouvrit un portail magique et, lorsque les deux êtres y entrèrent, le portail se referma derrière eux.

Nikos se laissa flatter par le jeune garçon en montrant des airs amusant et charmant. Il aimait faire son mignon et sourire à Derek. Il appréciait particulièrement le fait qu'il puisse enfin le voir, depuis le temps qu'il ne l'avait pas vu. Dès qu'Opale et Oromis disparu, Nikos rouvrit les yeux. En reprennant lentement son sérieux, il regarda Derek marmonner des mots au garde avant qu'il ne parte. Il était maintenant seul dans cette grande cour...Que pourrait-il y faire?

-C'est moi qui m'excuse...Je suis disparu sans même te dire où je partais...Père m'a appelé. Il m'a confié les craintes de maître Mathias. Tu connais le dieu du Feu, n'est-ce pas? Enfin...je dois te raconter la ténébreuse histoire du Seigneur du Mal. Opale, je suis certain qu'il va revenir. Père ne veut rien entendre, mais Mathias en est persuadé aussi. En fait, si je suis ici maintenant, c'est que j'agis sous les ordres de Mathias et Lakryma. Mais Père m'avait rappelé il y a longtemps. 2 semaines...ça me parait tellement loin derrière. Comme si ça faisait une éternité que je n'avais pas vu ton doux visage....Opale, des choses terribles vont survenir. Tellement horrible que je ne sais même pas si je...si nous allons réussir. Je veux te raconter l'histoire de celui que même les dieux ont peur de prononcer le nom. Veux-tu l'entendre? Car ces ténèbres sont trop sombres pour tout le monde. Je ne veux t'effrayer. Si tu ne veux pas entendre, dis-le moi. Quoiqu'il arrive, je t'aime de tout mon coeur d'elfe et de toute mon âme divine.

Oromis avait volé plus loin, vers l'entrée du château, tout en parlant. Il savait que le jeune Soren n'était plus très loin. Et il savait aussi que ce dernier se battait. Contre qui? Il devina par l'aura que ce devait être Chrystal. Mais pour le moment, ce qui comptait, c'était Opale. Soren pouvait se défendre seul. Et puis, il voulait savoir comment le Marqué pouvait se débrouiller et s'il avait vraiment du potentiel. Il vola en transportant son épouse tout en attendant sa réponse.

Opale écouta attentivement ce que lui disait son tendre époux. D'accord, il ne lui avait pas dit où il allait. Cependant, avec l'attitude qu'elle avait eu, il aurait presque pu croire qu'elle n'avait pas du tout cherché à savoir il était où! Oui, elle avait eu une très grande dose d'inquiètude, elle s'était fait plein d'idée sur la soudaine disparition d'Oromis, mais elle n'avait pas non plus vraiment cherché à le communiquer... De toute façon, si elle aurait essayé, elle aurait pu le déranger durant une discution qu'il avait avec un des dieux... Cependant, la question la plus importante n'était certainement pas de savoir qui était le plus désolé! Surtout d'entendre les dernières paroles de l'immortel la troublèrent considérablement. Ce qui se passait semblait être très grave.
Elle avait toujours cru, d'un certain sens, qu'Oromis était invincible. Il était immortel; Il était la seule personne qui comptait vraiment à ses yeux (mis à part Angélika, mais elle n'était toujours pas sur si elle était encore en vie...). Elle préférait mourrir plutôt que de savoir que quelque chose aurait pu arriver à son bel elfe. Évidement, elle l'avait toujours cru au-dessus de toutes ces règles qui régissait le monde; On naît un jour, un mort quand le temps arrive. Et pourtant, elle croyait qu'Oromis ne faisait pas partie de ces personnes qui devait respecter ce cycle de la vie. Elle le croyait plus puissant que la mer, plus intelligent qu'une bibliothèque, ... Bref, le plus des plus! Maintenant, il n'était même pas sur de réussir... Mais de réussir quoi? Qui était, ou même peut qu'est-ce qu'était cette puissance si sombre, si ténébreuse et si horrible qui effrayait les dieux? Pourquoi le Dieu du Tonnerre (blanc total de comment ça s'écrit...) ne semblait pas croire en son retour alors qu'il semblait si puissant, si éminant?
Et qu'allait-il arriver? QU'allait-il arriver qui puisse lui faire croire un seul instant qu'il ne l'aimait pas? Ce fameux Seigneur des Ténèbres n'allait certainement pas par sa simple puissance obliger un coeur de cesser d'aimer! Elle ne comprit pas vraiment, mais elle ne répondit pas émidiatement. Elle préféra commencer par réentendre dans sa tête toutes les paroles qu'il lui avait dites. ''Tellement horrible que je ne sais même pas si je...si nous allons réussir.'' avait-il dit? Pourquoi cette erreur de pronom soudain? Elle commençait vraiment à avoir peur de toute cette histoire. Mais elle devait savoir. L'ignorance mêne inévitablement à la souffrance. Ce n'est pas qu'ele avait peur de souffrir. c'est surtout qu'en ignorant toute cette histoire, ce qui se produisait, elle comprendrait dificillement ce que faisait Oromis, et pour plusieurs autres raisons, elle devait savoir l'histoire de ce Seigneur des Ténèbres. Elle prit une grande inspiration avant de continuer. Elle se fichait d'avoir peur. Elle préférait toujours faire fasse au problème que de faire semblant qu'il n'y en avait pas. Elle aurait encore la conscience plus tranquille si elle comprenait toute l'histoire que de savoir qu'elle était dans l'ignorance totale et que quelque chose pourrait arriver à son époux n'importe quand. Et qu'elle ne saurait même pas ce qui aurait pu produire ça...

-Je préfère entendre cete histoire. Je préfère savoir ce qui m'effraie que d'avoir peur de quelque chose qui m'est inconnu. Et mon amour pour toi est plus immence même que le ciel, et plus forte que la vie. Jamais je n'oublierai que tu m'aimes.

Elle savait très bien que, malheureusement, la peur de la plupart du monde était de l'inconnu... Ou du passé... Le futur étant associé à l'inconnu, c'est la vie elle-même qui fait peur...

Nikos s’assit au sol, laissant ses pattes le dépasser en hauteur. Ses oreilles étaient si longues qu’elles pendouillent jusqu’à toucher le sol. C’était ahurissant de voir comment la boule de poil avait grandi si vite…en 7 ans seulement, il avait presque doublé de grosseur. Nikos regarda les alentours d’un air hébété et perdu. Il se sentait seul et ne savait pas quoi faire. Il vit un chien qui s’approcha de lui en grogna. Nikos n’eut pas peur, au contraire. Il se leva et couru vers la bête, affamé. Voyant soudainement les crocs du chien, il freina rapidement pour faire aussitôt demi-tour comme un chat. Il fila droit vers les écuries, où les chevaux hennirent en chœur à sa vue. Ils sautèrent par-dessus leur barrière, terrifiés par les deux animaux qui se courraient. Affolé, les bêtes détruisirent les clôtures et s’éparpillèrent dans la cour, à chercher un endroit sûr. Nikos courrait si vite qu’il croyait qu’il allait mourir d’épuisement. Il vit un arbre, mais n’eut pas le temps d’y grimper. Le chien l’empoigna de ses crocs, par la taille, et le secoua comme un jouet. La boule de poil se recroquevilla de douleur en poussant un gémissement. Le chien enragé le mordilla à mainte reprise aux pattes pour le saisir et pouvoir l’emporter avec lui, malgré les coups entêtés de Nikos. Après un moment, Nikos émit un gémissement de douleur. Il ne se débattit plus, mais il n’allait pas abandonner contre un chien! Il n’allait pas faire mumuse avec la petite boule de poil ce clébard! Soudainement, Nikos s’enflamma, faisant reculer le chien, qui était maintenant craintif. Nikos ouvrit sa bouche et croqua le chien jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien. Dès qu’il fut de nouveau seul, Nikos s’écrasa au sol, en sang. Il était épuisé et blessé. Il ne pourrait pas prendre sa forme humaine et appeler de l’aide. Si seulement quelqu’un était là pour l’aider…

« Leslie…Leslie…venir aider Nikos…Leslie…..s’il te plait….. vite……mal… » Pensa-t-il, d’une façon saccadé. Espérant que Leslie eut entendu son message…

Kayrk sebaladait danslemondedes vivants et il aller en direction du trône de Leslie, lui annoncer qu'elle devaient s'annexerà Aïkadaé sous peine de subir la guerre, bref il venait déposerlui même son avertissement, car il ne craignerplus rien, les morts lui appartenait et il était presque un dieu, car le monde des morts était son royaume, puis il vit une créature poilu au longue oreille, aucun interêt, celle-ci fonçat sur un chien et fit aussitôt demi-tour quand le chien montrat les crocs, la course poursuite fit peur à plein d'animaux, Kayrk suivit tout sa de près, mais quand le chien tira la bêtepoilut, il fut surpris de la voir s'enflamer et manger le chien en un rien de temps, Bhaal vit là un apéritif, il baissat la banière servant de cache, et avalat l'âme du chien, puis la créature appela à l'aide à la reine Leslie, mais à part cela elle eu en face d'elle un être en muscle, san chair ni peaut, juste les muscle, les tendons et ligament, avec trois griffe pour chaque pieds et maind, celle-ci imposante, grande et articuler autemps griffe que doigt, et les yeux de la créature était d'un vert tel celui des âmes errante.

"Je ne pense pas qu'elle soit là sinon je l'aurait interpeller! Aurait tu besoin d'aide?"

Kayrk voyer en cette créature un parfait animal de compagnie, en le rendant un peu plus agressif bien évidament.

Nikos ouvrit les yeux sans trouver la source de la personne ou de la chose qui lui parlait. Pourtant, deux énormes pieds griffés se dressaient devant lui. En forcant pour lever le menton, la bête poilue leva ses yeux sur Kayrk. De son souffle atrocement douloureux, il se forca à parler un peu. La créature était terriblement blesser et devait être soignée au plus vite sinon il risquait une hémoraggie entraînant sa mort! Il fallait que cet être l'aide...Dans son langage plus ou moins développé, Nikos lui répondit par l'affirmative.

- Oui, besoin aide...

Une étrange lueur traversa bisarement le ciel. Qu'était-ce? Un pneu? Un pagze? Une chaloupe? Non!! C'était Kashya! Et oui, la petite fille, après être tombée d'épuisement sur le sol à la recherche de son frère, fut transporter par une voix étrange dans le ciel. Cependant, jamais elle ne se rendit à destination; les bras de sa maman.
En faite, c'était son frère qui lui avait permis de s'en aller vers sa mère, en cas de problème. Tu haut des cieux, il tenta de la transporter d'un endroit à l'autre, mais c'était difficile et très demandant énergétiquement. C'est également pour cette raison que la petite fille, qui commençait à se réveiller, atterrissa à cet endroit.
Une fois assise sur le sol, elle tenta de se repérer. Mais elle ne réussit pas. Elle ne connaissait personne ici, et ne connaissait pas plus l'endroit. Puis, en regardant encore comme il faut, elle distinga un grand homme, et... Une boule de poils!!
Voyant en cette petite boule de poils la douleur de son aura, mais également la gentillesse envers les enfants, la petite fille se précipita dessus pour lui venir en aide. Rendu près, elle vit clairement les sang s'écouler de plusieurs plaies. À la vu de tout ce liquide, elle s'exclama:

-Ho non!! Tu es blessé!! Attends, je vais t'aider...

C'est d'une délicatesse infinie qu'elle s'approcha de la petite bête et qu'elle déchira sa robe en petite languette de tissus et de faire bien attention en déposant ces dernières dessus la peau de la bête pour arrêter le sang de couler. Bien sur, elle n'était pas satisfaite de son travail, alors elle tenta de se concentrer dessus la petite boule pour guérir ses plaies... Mais elle n'était pas capable!!

-Je suis pas capable!! Quelqu'un!!! Venez l'aider!!! Faut le soigné!! Pauvre petit!!!....

Bien sur, elle n'avait même pas remarquer l'autre grand à côté, bien trop préoccupé par la petite bête poilue. Elle tenta encore de soigner les plaies, mais elle n'était pas capable. Des petites larmes coulèrent sur ses joues alors que les fleurs des alentours fanèrent, témoin de la trsitesse de Kashya.

Kayrk n'eut même pas le temps debougerqu'une petite fille tomber du ciel se jetta sur la boule de poil pour la guérir, et elle n'y parvenez aucunementmalgré tous ses acharnements, elle n'y arriver pas, Kayrk posat sestrois griffes énorme sur l'épaule de Kashya, etla fit reculer, il prit ensuite Nikos entres ses toisautre riffe del'autremain, etl'obligea à fixer ses yeux brillant vert âme, puis parsespouvoirspsychique il obliga lescellesdu corps à se régénéré très vite et à renouveller le sang perdue.

"Bien et voilà, maintenant chose faite dit moi donc chère créaturedouée de conscience, aurais-tu un maître par hasard, quelqu'un qui s'occupe de toi, qui te fait venirpartout aveclui, qui te nourrit et t'offre un endroit ou dormir?"

Kayrk réfléchit un moment et en même temps il sondea Kashya, elle était, non pas possible, la fille de Nickye son ancienne apprentite, oui et que l'âme decelle -ci et là dans un corps, oui il lui fallait récupérer cette fille, et en faire sa nouvelle apprentite, la rendre puissante, très puissante.

"Dit moi petite, tu me sembleperdue qu'elle est ton prénom?"

Cette petite...Nikos la connaissait...Qui était-elle... Elle voulait lui venir en aide sans le pouvoir. À sa vue, les fleurs se fannaient. Était-elle le prodige de la nature? Dès que Kayrk se rendit compte qu'elle ne pouvai rien faire, il la tassa doucement et regara Nkos dans ses yeux bleus-gris. Le contact entre Kayrk et Nikos avait été plutôt terrifiant et éprouvant pour la bête. L'animal s'était senti à la fois pièger et attaquer par cette manière d'intervenir. Ces yeux énormes qui le fixaient... Nikos senti en lui revenir la vie peu à peu. Il devait sa vie à cet être de muscle et de griffes. Comment lui rendre la pareil...Pouvait-il redevenir humain après cette guérison? Non. Il serait mieux de rester sous cette forme pour ne pas s'épuiser plus facilement.

- être errant...Mais que faire pour vous, vu vous avoir sauver vie de Nikos?

"Tu me demande ce que tu peux faire pour moi?"

Kayrk si il l'auraitpu sourire l'aurait fait, mais d'un sourire malsaint.

"Et bien, me tenir compagnie, m'accompagnerpartout, etcomment dire, te mettre à mon niveau, tu va comprendre, si tu connaitLeslie, tu doit connaitre du beau monde, donc tu a du entendreParlerdemoi Lord Kayrk, Chef du Clan de la Défense Brisée et nouveau Empereur de Aîkadaé, et connaitre doncma réputation, serais-tu près à me suivre malgré celà?"

Kayrk espérer qu'ils diseoui, car sinon il seraitmoins agressif si on l'obliger ou lui laver le cerveau exprès.

Nikos n'était pas sûr s'il devait accepter cette requête puisqu'il était un être malfaisant. Il se gratta la nuque avec une de ses pattes arrières, dû au stress sûrement. Mais cet être musculeux, Lord Kayrk, lui avait tout de même sauvé la vie. Il hésita quelques secondes sur le pourquoi il le voulait, mais Nikos n'était pas au meilleur de sa forme pour penser à tous les détails.

- Nikos pas sûr...mais savoir pourquoi vous vouloir Nikos, Nikos s'en fiche. Mais ce que Nikos vouloir savoir est comment vous être empereur d'Aïkadaé si princesse reprendre trône?

Alors qu'elle était en larme, elle se sentit reculer par la force d'une ''main'' à trois doigts. Elle ne regarda pas ce qui l'avait fait reculé; elle n'aait qu'yeux que pour la boule de poils. Il était rendu dans une autre main avec trois griffes, et elle vit ses blessures disparaître. Elle se tourna alors vers la personne qui lui était venu en aide, et elle vit que c'était à cette personne qu'appartenait ces deux grnds pieds. Elle recula légèrement afin de le voir au complet, impressionnée par sa grandeur. Elle le regarda avec un petite mine surprise, et elle fahit même regarder derrière elle pour chercher à qui il s'adressait quand il lui parla. ''Dit moi petite, tu me sembleperdue qu'elle est ton prénom?'' lui dit-il. Elle continua de le regarder, la bouche entrouverte, pendant près de 10 secondes. En faite, cette homme et la boule de poils eurent le temps d'avoir une conversation. Aux mots ''Aïkadaé'' et ''Princesse'', elle se demanda si c'était de sa mère dont il était question... La petite Kashya s'adressa alors à la petite boule de poils, avec un ton de questionnement tout mignon.

-La princesse d'Aïkadaé? De quelle princesse parles-tu?

Puis, cette fois-ci, se tournant vers Kayrk, elle répondit à retardement à sa question du début de la conversation.

-Je m'appelle Kashya. Et je suis pas perdue vous saurez! Je fais juste chercher mon ...

Elle réalisa finalement qu'elle s'ennuyait toujours autant de son frère. Elle se releva et regarda autour d'elle, cherchant une trace de son frère adoré. Ne le voyant toujours pas, elle marcha un peu autour de Nikos et Kayrk, avec une lueur d'espoir dans le regard, mais elle ne le retrouva pas. Elle soupira avant de prendre un petit air déprimé.

» Dans l'auberge