Chambre en haut de l'escalier

Sa tête passa la porte qu’elle sentit la chaleur dans tous ses membres. Ne sachant pas si son compagnon l’avait suivi, elle décida de chanter une seconde fois juste assez fort pour que Nikos puisse l’entendre. Son but n’était pas d’attirer l’attention au contraire car si on la verrait ici, on lui poserait plusieurs questions. Tout là haut des escaliers se trouvait une vieille porte qui semblait cacher certaine chose. La curiosité lui picotait le bout du nez alors elle décide de montrer l’escalier qui semblait si long à montrer. À destination, Akilegna essayait de s’imaginer qu’est ce qui pouvait se cacher derrière mais en vin elle ne trouva pas. La porte était verrouillée! Un petit rire s’échappa de sa bouche lorsqu’elle déverrouilla la porte à l’aide de sa télékinésie

-Pas si mal, dit elle à voix haute.

En poussant la porte, elle n’aperçu pas un trésor mais bien une chambre à coucher. Si immense qu’on aurait pu installer une famille complète. Cependant, tous étaient poussiéreux. Du lit jusqu’à la salle de bain. Peut être, si elle était chanceuse, trouverait-elle des vêtements? En ouvrant la commode, elle vit une robe dont la beauté était légendaire. Sans songer à ce qu’elle faisait, elle prit la robe et l’enfila. Ce qui était le plus magnifique, c’étais que la robe allait à sa taille. Si elle se faisait prendre à ce petit jeu, elle avouerait tout.

(La robe est la même que sur ma signature)

S'approchant de la porte de la bibliothèque, Siegfried ressentait une plus en plus grande sensation de connaître ceux qu'il allait rencontrer. Surtout l'aura la plus faible des deux. Une fille, à coup sûr et trop familière.

Citation :

-Dites-moi, qui suis-je?

Oromis approchait du couloir où se tenaient les deux intrus. Il se brancha
dans l'esprit de la jeune fille et s'arrêta net de marcher lorsqu'il entendit la demoiselle prononcer ces mots, qui se répercutaient dans sa tête. Il sortit rapidement de sa tête afin de réfléchir très vite.

*Est-ce possible? Non, ça ne se peut pas.................Angelika? Et l'autre...ce ne peut être que Demog Tar'Daran....C'est certain, cette puissance, c'est lui. Dire que je ne me souvenais plus de lui.*

Oromis courrait à présent vers les portes du château. Il était encore fort loin d'eux, ne les entendant pas vraiment lorsque, en faisant une petite irruption dans les pensées de la demoiselle, il l'entendit dire qu'elle voulait que Demog quitte. L'Immortel sentait que les choses étaient telles qu'elles avaient toujours étées, difficiles pour ces amoureux. Puis tout à coup, la demoiselle disparue de l'endroit où elle se trouvait pour apparaître...à sa gauche, dans la chambre d'invités.

-Angelika? Est-ce toi?

Prise au piège, la demoiselle se retourna vers l'homme qui se trouvait tout juste dans le cadre de porte. Surprise, il l'avait nommé Angelika..? Tout était si bizarre dans ce château mais elle ne pu s'empêcher de répondre.

- Je suis désolée pour la robe, j'étais nu comme un vers et je n'ai pu m'empêcher de me vêtir. Veuillez me voir navrer. Pour votre information, je .. je suis Angelika d'après certaine personne.. Vous qui êtes vo..

Le visage de l'homme sortit de l'ombre puis elle reconnu un visage si familier que des larmes se mirent à couler sur ses joues. Akilegna sauta dans les bras de l'étranger en criant haut et fort.

- Père, oui c'est moi.. enfin je crois. Je ne me rappel plus vraiment mais oui.. je suis Angelika.

Est ce le vent qui lui parlait ou est ce tous ses sentiments qui la rendait folle. Malgré ce manque de savoir, elle sentit la douce voix masculine tout près d'elle mais elle ne voyait que son père. Aussi, où se trouvait Nikos?

Akilenga ressentait la chaleur corporelle de l’homme qu’elle serait si fort dans ses bras. Malheureusement, ce n’était pas celle de son père car la sienne était bien particulière. Elle se souvenait maintenant de lui. Oromis, son protecteur lorsqu’elle était plus jeune. Sa gentillesse n’équivalait pas celle des autres même que lorsqu’il mentait, c’étais pour le bien des autres. Séchant ses larmes, son visage resta froid et sans sérieux. La vérité, sur sa famille, lui éclatait au visage. La demoiselle repoussa avec douceur l’homme qu’elle avait prit quelques minutes avant pour son père.

-Vous me voyez troublé Oromis de vous avoir prit pour mon père. Je n’ai plus toute ma tête à vrai dire. Sept ans se sont écroulés devant moi et je ne me souviens plus de quoi que se soit. Seuls des images sanglantes et des coups d’épée me reviennent à la mémoire, chose que je ne souhaite me rappeler.

Voulant en savoir un peu plus, elle observa les traits du visage d’Oromis et avec malaise elle vit que ce n’était pas son père.
Je suis tellement perdu que je prend l’un de mes amis pour mon père.*


-Mon père est décédé.. c’est cela Oromis? Dite moi seulement la vérité s’il vous plaît, je crois avoir le droit de savoir. Plus que je m’adresse à de anciennes connaissances, plus je me rappel qui je suis.. ce que j’étais. Avoir perdu mon père me laisse froide mais retrouver un ami cher à mes yeux me fait chaud au cœur. Merci d’être là pour moi. Vous verrez tôt ou tard quelle guerrière je suis devenue et je ferai honneur à mon père.

Un gargouillis se fit entendre dans la pièce si sombre et poussiéreuse. Voilà plusieurs jours qu’elle n’avait pas manger ni bu. C’étais encore un record qu’elle tienne encore debout.


-Pourrais-je m’établir ici pour quelques jours? Si ce n’est pas trop demander. Ah oui! Aussi, n’auriez vous pas vu un petit lion? C’est l’un de mes amis.. à ce que je pourrais dire et il serait très important que je le retrouve.

La princesse déchu prit une courte pause puit elle lui souria, à cet homme qui avait prit soin d’elle depuis longtemps.

-Je vais me retirez pour quelques heures. Je crois que j’ai à discuter avec mon père. Au cimetière je serai si vous me chercher. Merci une dernière fois Oromis.

La demoiselle lui fit une belle référence digne d’une noble puis elle disparu dans l’escalier.

La jeune princesse était peu surprise de ce face à face car ce château grouillait d'activités. Elle déposa un main rassurante sur l'épaule du nouveau venue d'un geste calme et rempli de bonne intension.


-Vous n'avez pas à me demander pardon mon cher, dit susura t'elle de sa voix douce habituel mais basse.

Avec souplesse, Akilegna se laissa glissé au long de l'escalier sans quitter l'homme des yeux. Avant de ne disparâitre vers la porte qui menait au calèche, la demoiselle lui souria puis elle disparu.

Sur le seuil de la porte, la demoiselle écouta les paroles de son ami puis elle constata qu'il tenait beaucoup à lui comme sa soeur.

Félicitation pour votre mariage. Vous êtes merveilleux comme couple de ce que je me rappel. Tout le monde à le droit d'avoir vie comme celle des comptes de fées.

Après ses paroles, elle disparu.

(hj: j'ai fait ce poste pour que tu puisses partir Oromis ^^)

[HJ : pas de problème, revient au château quand tu voudras. Pour l'instant, Oromis retourne voir ce qui se passe avec Cyzra ]