Dans la salle du trône

Le roi s'assit sur son trône et se remémora tout ce qui c'était passé autrefois. Il avait été laissé par Nickie mais avait réussi à garder son trône. Maintenant accepté dans tout le peuple, il était un roi puissant et accepté de tous. Même si Nickie et Sakura lui manquait, il devait faire preuve qu'il était un roi digne de son peuple qu'il gouvernait d'une poigne de fer. Il savait qu'il ne devait pas laisser ses sentiments l'emporter. Après 7 ans de gouvernage, la ville était entré dans une économie prospère et la ville ce portait beaucoup mieux qu'avec le reigne de Lary ou de Nickye. Il avait perdu Nickye lors d'un marché avec Kei. Si jamais il lui lèguais Nickye il devait pouvoir garder le trône permanent. Il avait accepté non bien que de mal mais il n'avait pas le choix si il voulait sauver son peuple.

Un serviteur approcha et lui dit:
-Mon seigneur, un messager approche, on dirait qu'il vient de Mentébrée, devons-nous l'accepter et le faire rentré parmis nous?

Latsirya le regarda et se demandait très bien ce qu'on pouvait lui vouloir. Il décida de prendre son épée géante et de la cacher derrière son trône si jamais c'était un traitre qui lui voulait du mal. Car c'était quand même le royaume adversaire qui se présentait malgré le traité de paix qui avait été signé. Il se souvint aussi de Kayrk et de sa défense brisée qui pourais lui mettre des bâtons dans les roues. Il devait faire la paux avec se seigneur au lieu de déclencher une guerre inutile.
-Laisser le entrer



Le serviteur se retira et alla chercher l'invité

(H.j:je sais pas si sais pour moi au non mais je m'incruste XD)

Le messager, n'était autre qu'un Gnool, un homme-hyène, tenant plus de la hyène que d el'homme, il dut attendre un moment, puis l'on vint le chercher, le messager arrivat devant le roi Lastyra, c'était un Gnoll guerrier,donc il n'inspirait guère confiance, déjà que les simple Gnoll n'inspirèe que peu de confiance, mais toutes les créature respecter le pouvoir de Lord Kayrk, cet être que même les dieux ne peuvent tuer, et cette êttre qui dans son apparence normal est impréssionant et terrifiant, le messager ne s'inclinat pas, tous ceux qui appartenait au Clan de la Défense Brisée, ne s'inclinez que devant Kayrk, puis il parlat.

"Mon Maitre, le Seigneur du Chaos et de la Destruction m'envoie, il vient vous proposer une entente, au niveau économique, permettant au marchand de votre royaume et au marchand de sa cité de vendre, et que les monnaie de votre royaume et de la cité de mon maître s'équivalent, si vous acceptez, donner vos thermes du contrat, mais il m'as bien était préscisé, que la paix, ne serait pas possible, car Mon Maître se fiche bien des deux royaumes, il s'entend juste sur l'économie, pas sur une paix ou une alliance, si vous refusez, il m'as dit de vous dire, t'en pis pour vous et que vous pourriez le regretter dans le futur, car les deux grand royaume on évolué, mais le Clan de la Défense Brisée à égallement évoluer."

Thalie était là à les observer... "pour l'éconime... tu parles" Elle s'approcha d'eux, le soleil entrait dans la pièce qui fesait miroité c'est long cheveux brun, elle ce positionna près de Latsyria, c'est bien la promère fois qu'elle ce rengeait de son côtés.

-Et si l'économie ne vien pas à votre affaire vous attaquerez, c'est ça??

La créature hybride sembla après la prise de parole de Thalie comme figée. Pas une immobilité comme celle due lors de la stupéfaction, mais une sorte d'immbolité glaciale, telle une statue.Le gueule de la crature s'était figée alors qu'elle était ouverte. Une sorte de couche de givre blanche se mit alors à envelopper le petit monstre, devenant peu à peu une épaisse couche de glace. En quelques secondes, le Gnoll devint prisonnier dans un pic de glace. Derrière cette statue, un visage inconnu de tous apparut.

"Très artisitique comme nature vive, n'est-ce pas?"

"Et bien Thalie, tu ne me reconnais pas?"

L'inconnu s'approcha de l'élue sans prêter attention à celui qui était sur le trône. Il ne le connaissait pas, et ne voulait pas le connaître, ce n'était pas lui qu'il était venu voir.

"Tu passais tellement ton temps à fricoter avec Lary que tu ne reconnais même plus son frère, que c'est triste."

Thalie ne voulait pas retomber dans ses souvenirs avec Lary, mais Roland ne l'aidait pas.

-Qu'est-ce que tu fais ici?

Biensure, maintenant elle le reconnait, pourquoi vient-il ici, pour venir mettre le rafuge d'ancien temps...

Enfin, elle le reconnaissait. Déjà une chose de faite, Roland allait passer à autre chose. Il se mit à marcher lentement vers Thalie.

"Rien de bien méchant, je suis juste venu voir ce que devenait Aïkadaé, ce royaume si prospère mais tellement pourri et corrompu qui m'a lâchement tourné le dos, qui m'a ignoré toute mon existence fragile et mortelle, et dont les habitants et dirigeants ne faisaient absolument rien pour changer ce fait.Je suis venu voir ceux qui étaient proches au grand et fabuleux Lary, le fantastique prince promis au trône. Mais attention, pas question de prêter un seul regard à son petit frère, le rejeton indigne toujours dans l'ombre, qui passait son temps seul, très seul."

Au fur et à mesure qui parlait, le ton que prenait Roland devenait énervé, mauvais et effrayant. Ses poings se serraient et sous ses pas, le sol gelait ou mourrait en poussière. Il s'arrêta tout près de Thalie, juste en face.

"Pour une élue du bien, voilà une pauvre âme en peine que tu n'as pas su sauver, une de plus. J'ai changé, n'est-ce pas Thalie?"

À fure et à mesure que Roland avançait Thalie reculait jusqu'à ce qu'elle hurte le mur du fond, elle regarda Roland dans les yeux, il n'était pas comnme ça avant, il était tout gentil, maintenant, il lui fait peur, elle n'es trouva qu'à dire,

-Oui, tout le monde change.... Dit-elle commençant à être apeurée.

"Tout le monde sauf toi apparemment. Un simple petit fantôme du passé t'effraie. Mais avoue-le, tu te doutais bien qu'un jour je changerais, que je ne resterais pas le même faiblard, le même rejet de la nature, le même vivant, n'est-ce pas?"

Malgré le peu de temps passé en compagnie de Thalie dans sa vie, Roland pouvait désormais lire en Thalie comme dans un livre ouvert. Il dévorait la peur qui naissait peu à peu dans les yeux de l'élue et qui avait pour père le Déchu.

"Je te fais si peur que ça? Que pourrais-je te faire après tout? Tu a été bien assez forte pour résister aux tourments qui sont apparus en toi après que Lary le formidable soit parti."

"Voilà quelqu'un qu'il me tardait de rencontrer."

La bête titanesque attira l'attention de Roland lorsqu'elle se fit entendre derrière son dos.C'était donc ce à quoi ressemblait La Bête, connue sous le nom de Kayrk.Il se retourna et regarda de haut en bas cette féroce création, qu'elle était impressionante, Roland en eut même un petit frisson d'effroi, la seule émotion qu'il pouvait encore ressentir.

"Oui, il a eu le temps de faire son petit discours. Ce n'est pas gentil de détruire ma petite oeuvre d'art."

"Mon nom n'a aucune importance pour le moment, vous le saurez bien assez tôt."

Roland resta figé face à la tête de Kayrk qui faisait la moitié de tout son corps juste sous son nez. L'intimidation ne marchait pas avec lui.

"Ce qui importe, c'est la proposition que je vous expose."

Pour le moment, il ne continua pas sa phrase en attendant une prime réaction de la Bête. Si Kayrk réagissait vivement et négativement, il serait inutile d'user de sa voix une seconde de plus.

" Comme vous, j'ai fondé un ordre de combattants, rejetés par la société, bons ou mauvais. Tous ont été éxilés ou ont eu le temps de le faire volontairement de leur ancien royaume."

Roland laissa un petit blanc afin de reprendre un peu sa respiration et afin de maintenir l'interêt suscité par Kayrk.

"Nos ordres sont similaires, je vous propose de les unir pour en créer un plus puissant que jamais, qui pourrait anéantir les royaumes futiles et remodeler le monde à notre manière. Cela pourrait nous retirer à nous deux une épine du pied."

Latsirya se leva et prit la parole. En voyant Kayrk arriver, il prit un air grave et savait que il s'agissait de menace. Il ne devait pas mettre son peuple en péril.

Vous arriver sur mes terres et vous me menacez? Que croyez vous obtenir par la force? Je suis maître ici et je refuse qu'une guerre s'installe. Si vous voulez faire du commerce, je suis près à accepter dépendament de ce que vous voulez m'offrir. Si jamais un commerçant est tuer le commerce est fini et une large conséquence suivera. Alors qu'avez vous à me proposer démon?

En entendant le souverain, Roland se retourna et posa enfin un oeil sur celui-ci.

"Ah, il s'est enfin réveillé. Latsirya, c'est ca? C'est quand même péjoratif de parler de Kayrk en démon... Il faudrait dire quelque chose de plus convenable..."

Une legere erreur de vocabulaire valut a Latsirya d'avoir la tete contournee par une rafale de pics de glacent qui se planterent dans le mur derriere lui. Un pic ecorcha d'ailleurs la joue du tyran.

"Considerez ceci comme l'avertissement. Et je peux vous assurer qu'a la seconde fois vous vous coucherez avant le soleil, souverain de pacotille. Maintenant taisez-vous, moi et Lord Kayrk avons une discussion de grands."

[HJ: Tu fais quoi là Deran?]

"Je me fiche de ce que vous pensez, et jamais je ne me suis vanté d'avoir été le frère de celui qui avait son postérieur posé sur ce siège stupide."

Roland lanca cette fois une vague tranchante de glace sur le siège qui alla se briser et forcer Latsirya à se lever. Il visa ensuite un pillier de la salle du trône qui lui aussi tomba en morceaux, faisant tomber de nombreuses pierres.

(HJ:Bah Deran et latsirya c'est moi tu savais pas?)